Le chant du cygne

Le mercredi 15 mai 2024 23:13 par Collectif Beaublanc.com

Le compte à rebours est arrivé à son terme, par bêtise et fierté Céline Forte-Gabriel a refusé jusqu'au bout de céder le club à Lionel PELUHET malgré les pressions des collectivités, des partenaires, du public. Jusqu'au bout elle aura tenu à préserver sa fille te son gendre et à tenter de les imposer dans l'organigramme potentiel du projet Peluhet. Elle a aussi tenté de récupérer un maximum des sommes qu'elle a englouti, aveuglée par les mensonges de l'équipe qu'elle a constitué à grands coups de licenciements des gens compétents pour ne garder (à grands frais) que le noyau familial et une poignée d'alternants et stagiaires. Aujourd'hui la DNCCG n'aura eu que du vent et communiquera donc demain sur le fort probable non-engagement du Limoges CSP en Elite et ProB. Un très mince espoir subsite puisqu'un recours est possible si l'actionnariat du CSP évolue (comprenez "si elle vend"). Après l'effarement, la colère devient noire et la famiglia Forte-Lanave ne semble pas mesurer à quel point elle va devenir persona-non-grata à Limoges. Si les petites vieilles à la boulangerie tapent dans le dos des joueurs les veilles de match, elles auront aussi un avis très remonté sur cette haute trahison au basket qui fait la fierté du peuple limougeaud, le tout sur fond d'égo, de mensonges, de népotisme et autres lubies dynastiques et mystiques mal placées. OUI Fred Forte avait sauvé le club une fois (en grande partie avec l'argent de la famille Gabriel), NON le nom de Forte n'était pas LE SEUL à même de représenter le CSP. La gestion de ce patrimoine collectif lui a été confié suite aux malversations des Dalton, il s'avère que la famiglia a été incapable de refaire du CSP une entité bénéficiaire. De l'argent il y en a eu beaucoup de brassé, la justice aura la tâche de savoir où il est passé et si certains s'en sont mis plein les poches. En attendant, Limoges risque de se trouver orphelin de basket de haut-niveau et c'est bel et bien la famiglia Forte-Lanave qu'il faudra remercier pour cet exploit dont on se serait bien passé.