Dossier estival : l'extra sportif au CSP

Dossier estival (un poil en retard) mais préparé de longue date par l'équipe de Beaublanc.com, voici un coup de projecteur sur la partie immergée de l'iceberg CSP : le secteur extra-sportif ! Tout le monde connait Fred Forté et Éric Girard mais qui sont les petites mains qui évoluent dans l'ombre et qui fabriquent littéralement le quotidien de l'entreprise Limoges CSP ? Des dirigeants aux porteurs d'eau, nous vous proposons un dossier forcément incomplet (nos excuses aux oubliés) tant les bonnes volontés sont essentielles au bon fonctionnement d'une grosse machine du basket français. Alors qui fait quoi ? Où ?... et comment ?! Les réponses ici.
L'organigramme du Limoges CSP SASP
Le Limoges CSP est depuis la fin de la période CSP Élite une Société Anonyme Sportive Professionnelle ce qui implique une organisation interne plus complexe qu'un simple « club sportif » amateur (comme l'est l'association CSP Limoges qui gère les équipes jeunes et amateurs à l'exception des espoirs). C'est le statut de tous les plus grands clubs professionnels, économiquement parlant, toutes disciplines confondues ; les deux autres types de sociétés sont la Société à Responsabilité Limitée, qui repose entièrement sur une personne, et la Société Anonyme à Objet Sportif, qui repose sur plusieurs personnes mais qui ne peut distribuer de dividendes (les dernières législations poussent d'ailleurs les clubs pros à se constituer en SASP à court terme afin d'homogénéiser le paysage sportif professionnel et d'harmoniser les règlementations en particulier fiscales). Derrière les deux figures médiatiques (Frédéric Forte et Éric Girard) que l'on connait se trouvent d'autres personnes moins exposées mais dont le travail est très important. Revue d'effectif.
Commençons par le sommet de cet organigramme avec le président Frédéric Forte, c'est lui qui a repris le CSP à l'été 2004 au moment du dépôt de bilan. Il a réussi son pari de remonter le CSP en ProA même si cela a été plus long que ce qu'il avait promis au départ (la montée dès la 2ème année de ProB) - en partie à cause du fait qu'il ait pris le poste d'entraineur lors de la première saison en ProB jusqu'à la trêve de noël de la seconde saison. Il a réussi à trouver ou faire revenir de gros sponsors (Fagor, Mac Donald's, Adidas ) et de faire venir des coaches ayant fait leurs preuves, même si la mayonnaise n'a pas toujours pris.
Dans l'ombre du président il y a, comme toujours, un vice-président et celui du Limoges CSP s'appelle Antonio Lopez. Même s'il est très discret à son poste, "Tonio" est également 2e vice-président du Comité Départemental et est depuis longtemps une figure du basket régional puisqu'il a présidé le CSP association et qu'il officie régulièrement à la table de marque en sa qualité d'OTM fédéral (officiel de table de marque). Il est également président du directoire de la SASP, organe qui valide les décisions du président du CSP.

La SASP compte également un conseil de surveillance (cellule inexistante dans les années 90 et qui aurait été ô combien utile à cette époque !) présidé par Jean Léonard PICOT, un entrepreneur limousin qui a donc un rôle moindre puisqu'il n'intervient pas dans l'exécutif, mais qui a une fonction de validation. Il siège également au directoire de la SASP.
L'organigramme incluait il y a deux ans un Directeur Général qui semblait à l'époque "indispensable au développement d'un club professionnel" mais qui a depuis mystérieusement disparu... tout comme la personne qui l'occupait : Wilfried Duchemin a semble-t-il quitté le club en catimini mais on ne sait sur quel différend ni sur quelle initiative (même si on se doute que les deux parties ne se sont pas quittées bonnes-amies !). Le transfuge d'Évreux a depuis refait surface dans un rôle sensiblement identique à Lille qui souhaite se structurer solidement et s'ancrer dans le paysage du basket français à court terme. Pour le CSP, on suppose que Fred Forté gère cette partie mêlant contacts avec les partenaires et intendance à grande échelle.


Pour gérer une structure de ce type au niveau financier, il faut un comptable. Ce rôle importantissime est celui de Philippe Clairmonteil. C'est lui qui gère les comptes qui sont étudiés par la Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestions et qui ont encore été validés sans réserves pour cette saison. Il s'occupe également de la partie administrative du CSP. Les comptes du CSP semblent sains. Le club passe depuis des années l'étape de la DNCG (Direction Nationale de Contrôle et de Gestion qui encadre les clubs pros dans tous les sports) avec succès et même avec les félicitations du jury certaines années alors que d'autres formations voient leur budget encadré, voire leur masse salariale limitée. L'entreprise Limoges CSP SASP est également considérée comme saine et à évolution peu risquée de par son passé sans évènement comptable (on parle bien de la SASP... le CSP des années 90 en revanche a laissé une sale image que les dirigeants actuels se sont évertués à faire oublier). Cette saison, la LNB a publié un budget de 3,5M d'euros basé sur le dossier présenté en juin. Mais depuis l'accession acquise et le recrutement bouclé, on parle plutôt d'un budget de 4,3M, ce qui placerait le CSP un peu plus haut dans la hiérarchie française et serait plus en adéquation avec les ambitions (non avouées) du club : les playoffs !
Parlons maintenant d'une personne de l'ombre mais dont l'importance est vitale dans une société, la secrétaire : elle se nomme Karen pour le CSP. Vous l'avez sûrement eue au téléphone si vous avez appelé le club, ou vous l'avez peut être rencontrée si vous avez retiré des places au siège. C'est une de ces personnes aux responsabilités officiellement inexistantes mais sans qui RIEN ne tournerait !
Ancienne gloire du CSP qui s'est mis au service du CSP, Stéphane Ostrowski est revenu pour s'occuper du marketing et de la communication du CSP. Parachuté à ce poste après une formation au Centre d'Économie et du Droit du Sport de l'Université de Limoges, "Ostro" met en uvre une politique marketing orientée partenaires locaux mais nous y reviendrons dans la suite de l'article. Il est secondé par Antoine Parlon qui se charge des relations avec la presse et les médias. Vous connaissez surement sa voix puisqu'il commente les matches pour le site web du CSP. Les critiques sont parfois nombreuses sur la "communication" du club mais pas mal de supporters oublient bien souvent que le club n'est pas forcément là pour confirmer ou démentir les rumeurs (avérées ou fantaisistes) qui naissent sur les forums. D'autre part les bénévoles qui gèrent le site web (dans ce domaine le club conserve un côté amateur regrettable) doivent aussi obéir à une politique éditoriale dictée par le staff soucieux de maîtriser certains aspects publics de la vie du club. Enfin, Julie Desvilles est l'assistante de Stéphane Ostrowski et gère le quotidien de la cellule marketing et organisation.
Enfin, la logistique du CSP est assurée par Jacky Suidureau. Il a un rôle de confort auprès des joueurs, est de tous les déplacements et assure l'intendance dans des domaines aussi variés que la gestion des équipements Adidas jusqu'aux bouteilles d'eau. Il est avec le staff médical (composé entre autres du Dr Nicolas Gonzalez, joueur de NM1 au CSP et joueur plus qu'honnête à Landouge il y a quelques années en parallèle à son cursus médical) l'essentiel de la fourmilière qui accompagne les joueurs et font partie intégrante de la vie de l'équipe.
Dernier élément en date à intégrer le staff : François Renaux l'ex 10e homme d'Eric Girard met un terme à sa carrière de joueur pour exercer des fonctions à mi-chemin entre les deux dernières catégories. Le mieux coiffé des joueurs sera "coordinateur sportif" un poste créé pour lui... ou qui correspond à un besoin du club jusque là non exploité ?! Il sera en charge du suivi des joueurs dans leur quotidien (voiture, logement etc...) et sera chargé de qualifier les nouveaux joueurs (on ne va pas recommencer la valse hein ?!). En même temps il sera l'interlocuteur de la cellule marketing pour les actions qui concerneront directement les joueurs.
En conclusion, l'organigramme mériterait un bon dépoussiérage et surtout un éclaircissement aux yeux du public car depuis le départ de Wilfried Duchemin et les créations de postes ou modifications de compétences les choses sont moins claires pour les non-initiés. Si une hiérarchie est surement établie en interne, il serait sans doute bienvenue de communiquer sur ce point auprès des supporters qui aiment leur équipe et qui sont curieux de ces rouages.
Le Marketing au Limoges CSP
Autant le dire d'entrée : nous ne serons pas tendres dans cette partie tant Limoges est encore au moyen-âge dans ce domaine. La plaquette marketing du CSP (disponible ICI) montre à quel point la cellule dirigée par Stéphane Ostrowski est restée figée dans le fonctionnement « à Papa » des années 80/90. Les supports publicitaires matériels semblent au centre de toutes les attentions et donc principalement tournés vers les partenaires professionnels locaux. Hors, le Limoges CSP a une particularité dans le paysage du basket français : un public (y compris hors Limoges) fidèle à son équipe et avide de porter ses couleurs ! RIEN dans la stratégie du CSP ne vise à exploiter ce filon en partant de la boutique inexistante jusqu'au choix des produits miraculeusement mis à disposition du public. Le simple exemple du tshirt « distribué » pour Bercy (avec une énorme marge) est édifiant : un vilain tshirt blanc (moins cher) entrée de gamme (toujours moins cher) tristement floqué Limoges CSP en monochrome (encore moins cher !). Il ne manquait qu'un beau logo Intermarché pour finir de faire cheap ! Là encore, le choix des partenaires maillots peut laisser dubitatif. La tunique du CSP dans sa version noire a d'ailleurs été élue la plus hideuse de LNB avec ses affreux placards façon autocollant publicitaire (exemple flagrant : logo Intermarché sur fond blanc alors qu'on aurait pu simplement inverser les couleurs), sur ce sujet je vous renvoie vers >> cet article détaillé sur les maillots LNB << dont nous rejoignons TOTALEMENT l'avis et les suggestions (à l'exception du passage sur le logo LNB) en s'appuyant sur ce qui se fait de mieux à l'échelle européenne et mondiale. Au passage Limoges en prend à juste titre pour son grade... même s'il se murmure que le CSP pourrait nous pondre une grosse surprise cette saison en termes de couleurs...

Revenons au marketing pur : le CSP ignore effectivement ses fans, ne proposant dans sa maigre boutique que des produits dits « publicitaires » sans jamais considérer ce poste comme une potentielle source de revenus comme c'est pourtant le cas en NBA ou chez les footeux. Saluons au passage l'initiative de la CRIL qui a démarché le CSP avec des visuels accrocheurs au printemps dernier avec le succès commercial que l'on sait.

Il a toutefois été difficile de faire comprendre qu'un beau produit même cher, se vendra mieux qu'un vilain bob offert par Intermarché et floqué CSP quand on vous dit que les mentalités sont encore bloquées dans le passé ! Le reste du merchandising est inexistant et le tarif des maillots vendus aux alentours des 60 finit de refroidir ceux que la collection de placards n'a pas simplement dégoûtés ! Pas de Réplica abordable, pas de Tshirt « attractif » mis à part l'initiative de la CRIL, pas de produit moderne (housse de netbook, bracelets caoutchouc pour les jeunes, accessoires téléphones portables iPhone par exemple- etc ) bref, rien pour s'ancrer dans le quotidien des Limougeauds... Ah si ! Si vous voulez un maillot du CSP en dehors d'un soir de match ils sont en vente chez... Feu Vert (ne cherchez pas il n'y a AUCUNE logique... c'est vrai qu'une boutique de sports en centre-ville partenaire du club serait quelque chose d'inconcevable !).
Les supports de communication sont également hors du temps : les panneaux publicitaires de Beaublanc sont certes visibles et reconnus par tous mais à quand une modernisation de ce côté là ? Les panneaux lumineux défilants sont légions dans les enceintes sportives et mis à part ceux imposés par la LNB autour du parquet (face caméras) rien d'autre ne clignote dans Beaublanc ! Pis, la fameuse plaquette marketing considère le site web comme un autre support un panneau supplémentaire ! Là encore, le moyen-âge revient à la course. Le web est dynamique, un site peut se parer de couleurs dédiées sur une courte période. Vendre un encart sur le site officiel du club revient à poser un autocollant sur la voiture de François Renaux et la garer au parking des halles alors qu'on pourrait repeindre la voiture et la faire circuler en centre-ville pendant une semaine ! Le potentiel est encore une fois négligé.
Les exemples sont légions et la simple critique ne fera pas avancer le sujet. Le fait est que le CSP doit considérer le marketing comme un domaine à exploiter en y investissant, plutôt qu'une manne fluctuante. Le club peut continuer à démarcher des partenaires, à organiser des tournois de foot (cherchez l'erreur...) pour les sponsors et à déboucher le champagne au club-house (une tente barnum au cul du palais des sports sans commentaire) mais s'il veut réellement décupler le potentiel (fort) du CSP il devra y consacrer un budget et tenter des choses nouvelles en ciblant son public (et ses deniers). Les rares à avoir osé ont vu leur démarche récompensée, comme Roanne avec ses maillots jacquard d'inspiration North Carolina qui a vendu plus de tuniques malgré un potentiel de population ultra limité. A quand des jerseys CSP abordables ? A quand des tshirts classieux exploitant l'Histoire du CSP que l'on pourra porter tous les jours et pas seulement un soir de match ? A quand des ballons LNB à la boutique ? A quand des posters à faire dédicacer ? A quand des bam-bams à 3 vendus dans les travées ? A quand le coussin de siège / pancarte en mousse réutilisable logoté CSP ? Les pistes sont infinies, il suffit de creuser et d'investir M. Ostrowski, nos euros sont prêts !
La rénovation de Beaublanc : l'Arlésienne hors de propos ?!
Après le moyen âge du marketing on ne peut pas dire que le sujet de la salle soit plus avancé ! Le thème de l'enceinte sportive est particulièrement bouillant en France où l'on vient (enfin !) de prendre conscience de notre retard et où les mentalités sont là aussi difficiles à faire évoluer. Certaines initiatives vont accoucher de structures adéquates mais sur le fond le problème demeure : ces bâtiments sont toujours la propriété des municipalités et dans une évolution à moyen terme, les financements publics ne pourront plus représenter la majeure partie des ressources d'une équipe professionnelle. Le premier de ces chapitre devrait être la salle : un club propriétaire de son enceinte peut l'exploiter et la rentabiliser à volo. Une cathédrale comme Beaublanc pourrait servir à de nombreuses choses en dehors des matches de basket mais nous aborderons ces propositions plus bas. Une structure neuve serait évidemment préférable mais nombre d'améliorations sont d'ores et déjà possible sur l'existant.
Ainsi, à notre sens, avant de parler de rénovation de Beaublanc, il faudrait parler de propriété. La ville de Limoges qui détient et entretient Beaublanc finance par ailleurs le CSP à coups de millions d'euros depuis des années. On pourrait imaginer le CSP, aidé par des partenaires privés, racheter les murs et y installer un véritable complexe business-basket quitte à renommer l'enceinte (Legrand Beaublanc ça aurait de la gueule non ?!).
Parlons architecture : la France (et bien souvent l'Europe) n'a rien compris à la structure physique d'un stade. On pense au terrain forcément et aux tribunes
après c'est du détail. La photo ci dessous est évocatrice.

Prenons l'exemple ultime en terme d'optimisation du sol et surtout économique : le Staples Center de Los Angeles. On peut voir là une sorte de Beaublanc Géant (tiens, un autre nom potentiel ?! ;-)) mais où les murs extérieurs ont été tirés droits vers le sol et le vide comblé par des boutiques de restauration, de merchandising, des restaurants, des bars pour regarder le match (on y accède par l'extérieur et on ne peut pas entrer dans l'arène
mais on ressent les vibrations de la salle !) et même un mini musée consacré aux équipes résidentes (basket hommes et femmes ainsi que Hockey).

Les loges situées en hauteur sont tout confort (insonorisées, écrans LCD multiples et proposent des services de traiteur un peu comme la tente VIP du CSP) et dominent la salle. De tels espaces pourraient être créées à la place de l'actuelle buvette et des bureaux du staff. Il n'est pas là question d'être au bord du terrain mais de négocier des contrats ou d'inviter des clients et de pouvoir parler business même pendant le match et ce dans le plus grand confort. Un autre concept
Le restaurant est carrément une tribune (cf incrustation dans la photo) où les tables rikiki permettent de diner en regardant le match
les tables mal situées viseront les nombreux écrans LCD. Ce qui nous amène au sujet de la verrue de Beaublanc : l'affreuse buvette, siège de bon nombre d'hérésies commerciales.
Que les choses soient claires : les aimables (et très utiles) tenants de la brasserie du palais ne sont aucunement visés mais simplement le lieu ! Une telle surface avec vue panoramique sur le terrain si mal exploitée est un crève cur dans l'optique d'une rénovation hypothétique de la salle.
Premièrement la concession privée de ce lieu est tout bonnement à supprimer. Le CSP devrait jouir de ce lieu et en faire une sorte de CSP-Café décoré avec d'anciens maillots et des reliques (répliques des coupes européennes etc...) ouvert toute l'année et y organiser des retransmissions des matches à l'extérieur avec écran géant, restauration et présence de membres du staff. Qui profite de la baie vitrée ? Les serveurs ! le comptoir étant adossé à cette dernière ! (Ai-je besoin d'aller plus loin ?). Non seulement une grande tribune devrait être installée sous l'actuelle buvette mais la fenêtre devrait devenir une baie vitrée exploitée pour proposer des loges business dignes de ce nom. Un comptoir avec un angle mort et des écrans LCD contentera autant les supporters (dont Godzip, fan de la serveuse ;D) et des chariots habilement disposés dans les couloirs pourraient éviter les embouteillages à la mi-temps.

Une alternance de petits stands boissons/merchandising seraient d'ailleurs propices à générer plus de chiffre d'affaire (quel parent résistera à son chérubin qui veut le maillot réplica à seulement 30 de son joueur préféré qui a dunké au buzzer ?!). Des stands de partenaires pourraient également générer des espaces publicitaires supplémentaires à l'image de ce stand de jeux vidéos présent dans les travées de Bercy.

Un CSP propriétaire des lieux pourrait organiser des clinics d'entraineurs, des stages pendant les vacances scolaires "sur le vrai terrain des pros", il pourrait également louer l'espace à des partenaires pour leurs évènements. Un club house en dur modernisé pourrait également être une salle de réunions/réceptions potentiellement à disposition des partenaires ou des particuliers (un mariage ou une communion à Beaublanc ?! Ce ne sera pas pire qu'une vilaine salle des fêtes !). Un CSP-Café pourrait également être privatisé ponctuellement pour accueillir des évènements privés (anniversaires, réveillons etc...) avec des prestations tarifées telles que présence de joueurs, animation sur le parquet etc...). Beaublanc pourrait VIVRE 365 jours par an et générer des revenus au CSP ! Nos anciens joueurs (ou joueurs actuels d'ailleurs ;-)) investissent dans des commerces en ville... pourquoi pas à Beaublanc même ?!
Les idées présentées ici sont multiples et certaines sont sans doute utopiques mais il vaut mieux viser haut. Notre objectif est de ne surtout pas nous cantonner à critiquer sans proposer de solutions. Certes nous ne détenons pas LA vérité mais nous espérons que cet article fera avancer le débat et, pourquoi pas, inspirera nos dirigeants dans l'optique d'une optimisation de notre enceinte chérie.
Pour prolonger la réflexion sur le futur des salles de ProA, nous vous suggérons la lecture de >> cet article << fort bien documenté.
Allez, un dernier rêve pour la route : une vision de notre Beaublanc agrandi et modernisé...

PS : Article corrigé suite à des messages de visiteurs, merci aux intéressés.
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Limoges complète son recrutement avec R.T. Guinn
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# 25 - CSP4EV3R
23/08 - 12h00
ouais, jtrouve sa dommage, sa serait un excellent + pour le club d avoir un com' de top niveau, come poitier par exemple et leur super site et tout ! nous, on ne sait rien sur nos joueurs, etc...