ALL OF SHAME !

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L'équipe a lâché le le match contre Strasbourg (76-93) ; s'est moquée du public et du club. Les joueurs n'écoutent pas ou plus Massimo. Des tensions sont apparues dans les tribunes au sein des huiles. Beaublanc a sifflé, sans la présence des UG qui ont boudé.
Tout est dit.
Une réaction s'impose pour sauver nos fesses en Betlic Elite.

LES ÂMES GRISES !

C'est le coeur en miettes que nous nous rendons depuis quelques temps aux matchs à beaublanc ou à l'extérieur. A la recherche d'un cadeau à la con tel que ceux balancés à l'intérieur des pochettes surprise bien sexistes de notre enfance, bleues pour les garçons ou roses pour les filles.
Qu'allions-nous y trouver ? Mystère. Tout semblait possible ce soir, le pire comme le meilleur.

On voulait y voir de l'implication, encore de l'implication et rien que de l'implication. Et du talent si possible, parce qu'il y en a, même s'il ne s'exprime ou plus depuis le début de l'année sauf lors des matchs de gala.

AH OUI, LE MATCH !

La prestation du CSP n'appelle aucun développement. Le néant est difficile à raconter. On n'a vu qu'un manque de respect dans cette équipe composée de professionnels. Oui, messieurs, vous devez au club une prestation qui relève du contrat que vous avez signé.
Il vous appartient de vous impliquer afin de donner le maximum à votre employeur.

Or, à l'exception de Nicolas Lang, les attitudes sont inadmissibles. Massimo s'est employé à maintenir un semblant d'unité. Kadji a essayé de s'impliquer en début de match puis a montré ses limites. Jones s'est contenté d'être un passeur, ce qu'il ne sait pas faire, puis nous a fait du Jones en fin de partie pour soigner ses statistiques. Mathieu a été agaçant au possible. Rodriguez s'est montré désinvolte face aux consignes du coach. Cher monsieur, quand on joue de la sorte, l'humilité n'est pas une option. Le reste a été à l'avenant.

LE CSP EN GRANDE DIFFICULTé

Au club de prendre des décisions et les bonnes. Difficile assurément. Et ce n'est pas face à Lyon qu'un redressement peut être envisagé. Les matchs abordables de fin de saison permettant le maintien devront être joués au caractère. Or, à cette heure, on n'en voit pas, car il n(y en a pas.

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